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Battue par la Nouvelle-Zélande pour son premier match de la Coupe du monde (1-2) en Inde, la France a néanmoins montré qu’elle pouvait rivaliser avec les meilleurs. Avec davantage de réalisme, elle peut continuer à nourrir des espoirs pour la suite de la compétition. Prochain match face à l’Espagne lundi à suivre en direct sur La Chaine L’Equipe (12h30)


Au moment d’entrer sur le terrain, les visages des joueurs tricolores étaient fermés, concentrés. Vingt-huit ans après sa dernière participation à une Coupe du monde, en 1990, la France a retrouvé jeudi, à Bhubaneswar, au sud-est de l’Inde, le parfum du très haut niveau. Son exigence aussi et son absolue nécessité de réalisme. Face à la Nouvelle-Zélande, 9e au classement mondial, les Bleus (20e) ont fait mieux que jeu égal dans la plupart des domaines. Mais ils ont malheureusement péché dans celui de l’efficacité dans les deux zones de vérité.

Après un premier quart temps équilibré et très fermé, le jeu s’est peu à peu ouvert, les situations dans le cercle se multipliant de chaque côté. A la 16e minute, les Néo-zélandais furent les premiers à trouver l’ouverture. Parti sur l’aile droite, Kane Russel réussissait à tromper Arthur Thieffry, le portier tricolore. Les Bleus réagissaient à plusieurs reprises mais butaient systématiquement sur Cory Bennett, le dernier rempart de la Nouvelle-Zélande. Trois penalty-corner (PC) de Victor Charlet étaient même repoussés. Pire, à la 56e minute, Stephen Jenness, à la réception d’un scoop, filait sur l’aile droite et adressait un shoot très puissant au premier poteau qui surprenait à nouveau Thieffry. Dans la dernière minute, sur son quatrième PC (aucun PC pour les Néozélandais), Charlet réduisait enfin l’écart. Hélas trop tard pour espérer revenir sur les Kiwis.


Jeroen Delmee, coach de l'équipe de France : « C’est frustrant »

« Aujourd’hui, je n’ai pas vu l’équipe de France, regrette Jeroen Delmee, l’entraîneur néerlandais de l’équipe de France. Ce n’était pas nous. L’équipe était préparée, mais à la fin, ça s’est joué audelà du hockey. Aujourd’hui, on a perdu à cause de nous, nous n’avons pas joué notre jeu, nous n’avons pas réussi à prendre le rythme, ni offensivement, ni défensivement. C’est frustrant. Quand tu perds contre une meilleure équipe, que tu es moins fort, ok. Quand tu perds contre une équipe qui n’a fait que défendre, ça, c’est horrible. Ils sont allés deux fois dans le cercle en 2e mi-temps, et réussissent à marquer un but. Nous avons des opportunités mais nous ne marquons pas. »
Un manque de réalisme peut-être dû à la dimension inédite d’un tel tournoi pour tous les joueurs. « On est dans un grand tournoi, avec une atmosphère particulière, c’était trop impressionnant peut-être », poursuit le coach. Une approche confirmée du côté des joueurs. « On a commencé très timidement, sûrement à cause du stress de début de compétition, de cette coupe du monde, analyse Gaspard Baumgarten, attaquant de l’équipe de France. On encaisse ce but dans le premier quart temps, mais ils ne sont pas énormément dangereux ensuite. On a plutôt la possession, on a quelques entrées dans le cercle intéressantes avec des situations assez chaudes, mais on n’arrive pas à conclure. En deuxième mi-temps, on joue mieux, on récupère plus de balles, mais même chose, on ne marque pas le but du 1-1 qui nous aurait fait beaucoup de bien. On a réagi trop tard et on n’a pas été assez efficaces devant le but, à trouver des petits corners, à marquer. On a été un peu tendres là-dessus. »


Rendez-vous lundi face à l’Espagne

Prochain rendez-vous, lundi face à l’Espagne (8e nation mondiale), battue de peu ce jeudi par l’Argentine (2e nation mondiale). Un match d’ores et déjà essentiel pour les deux équipes à la quête d’une des trois premières places de la poule synonyme de qualification pour la suite de la compétition. « Il faut retenir l’expérience de cette première rencontre, se projette le coach des Bleus. C’était juste le premier match. On jouera mieux contre l’Espagne. Et c’est déjà un match crucial. » Malgré la défaite initiale, tout reste en effet possible. « L’important c’est qu’on est au niveau, positive Baumgarten. Le niveau est là, on perd aujourd’hui, mais on peut aller chercher quelque chose sur les deux prochains matches si on a un peu plus de réussite et qu’on est plus efficaces. »

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Poule A
Jeudi 29 novembre : Argentine – Espagne : 4-3 ; Nouvelle-Zélande – France : 2-1
Lundi 3 décembre : Espagne – France (12h30, heure française)
Jeudi 6 décembre : Argentine – France (14h30, heure française)

Classement : 1. Argentine, 3 pts ; 2. Nouvelle-Zélande, 3 pts ; 3. Espagne, 0 pt ; 4. France, 0 pt.

Le premier qualifié directement pour les quarts de finale (mercredi 12 décembre). Le deuxième et troisième disputent un match de barrage (lundi 10 décembre) face au deuxième ou troisième de la Poule B (Australie, Angleterre, Irlande, Chine) pour accéder aux quarts de finale. Demi-finales, samedi 15 décembre puis finale le dimanche 16 décembre.

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Les Bleus à suivre sur la Chaîne L’Equipe


La chaine L’Équipe assure la diffusion en direct de tous les matches de poules de l’équipe de France, son match de barrage - le cas échéant - ainsi que des demi-finales et de la finale, avec ou sans la France. Les journalistes Benoit Cosset et Nicolas Loth ainsi que l’international et journaliste Simon Martin Brisac seront aux commentaires.

 

 

(c) Yan Huckendubler 

 

Dès aujourd'hui, je supporte les équipes de France pour préparer et réussir les JO de Paris 2024 !

Vingt-huit ans après sa dernière apparition au sein de l’élite mondiale, l’équipe de France masculine de hockey sur gazon participe à la troisième Coupe du Monde de son histoire. Début des festivités à Bhubaneswar, en Inde demain pour le premier match français de la compétition. Les Bleus affrontent la Nouvelle-Zélande à 14h30 heure française, à suivre en direct sur la chaîne L’Equipe.

Le Comité Départemental de Paris de hockey sur gazon souhaite développer les modèles économiques de ses clubs et augmenter leurs notoriétés sur le territoire parisien, en accord avec la politique fédérale et en lien avec les axes de développement déjà mis en place. Un important travail de fonds a déjà été engagé, en particulier dans le milieu scolaire, pour développer la pratique, accompagner les clubs existants et créer de nouveaux clubs. L’obtention des Jeux Olympiques à Paris en 2024 pourrait s’avérer un accélérateur puissant pour la mise en œuvre du projet du CDH 75. Découvrez la fiche de poste dans cet article !

Vingt-huit ans après sa dernière apparition au sein de l’élite mondiale, l’équipe de France masculine participe à la troisième Coupe du monde de son histoire à partir du 29 novembre prochain, en Inde, à Bhubaneswar. A événement exceptionnel dispositif exceptionnel, puisque la Fédération Française de Hockey déploie une communication digitale à 360° : les Bleus visibles partout et par tous, ça commence maintenant !

La Fédération Française de Hockey est heureuse d’annoncer son rapprochement avec PAYBYPHONE et FIT ET VOUS qui deviennent partenaires de l’équipe de France pour la Coupe du Monde 2018. Alors que l’équipe de France masculine de Hockey sur gazon s’apprête à participer à la Coupe du Monde à Bhubaneswar (Inde) pour la troisième fois de son histoire, les deux nouveaux partenaires seront aux côtés des Bleus, bénéficiant d’un espace de visibilité sur le maillot tricolore.

Dans le cadre de sa politique de développement du Hockey Féminin, la Fédération Française de Hockey, en partenariat avec Femix’ Sports, a organisé  dans ses locaux samedi 17 novembre 2018, un cycle de formation spécifiquement conçu à l’intention des actuelles et futures dirigeantes. Retour sur cette première journée de formation, appréciée par l'ensemble des dirigeantes présentes.

Le Sporting Hockey Club Calais organise son tournoi de Pâques "Calais Easter Tournament", du 20 au 22 avril 2019. N'hésitez pas à y insrcire une équipe ! Pour plus d'informations : sporting-hockey-club-calais@live.fr

C'est avec beaucoup d'émotion et une profonde tristesse que la Fédération Française de Hockey a appris le décès de Philippe Reynaud à l'âge de 96 ans. Philippe était l'un des rares hockeyeurs français a avoir participé à trois Jeux Olympiques : en 1948, en 1952 et enfin en 1960. 

 

La Fédération Française de Hockey soutient sa famille et lui présente ses sincères condoléances. Les obsèques de Philippe Reynaud auront lieu le mardi 27 novembre à 14h15 à l'église de Notre-Dame à Pontoise.

En cette occasion, la FFH souhaite vous offrir la possibilité de lire ou relire l'article publié en 2017, intitulé "Dans la tête de Philippe Reynaud", article qui nous plonge dans la vie de ce grand hockeyeur français. 

 

Présentez-vous-en quelques mots

1m76, 75kg (il y a 60 ans) né à Villebon sur Yvette. J’étais à Pontoise en 1934, puis la guerre est arrivée. J’ai reçu plusieurs distinctions au sortir de cette deuxième guerre mondiale : Médaille du combattant, Croix de Guerre 39-45, Engagé volontaire pour la durée de la guerre et Maquis de l’Ardèche (Résistant Francs-Tireurs Patriotes).  La paix revenue, je suis devenu professeur à Saint Martin de Pontoise.

PhRGuerrePhilippe Reynaud pendant la Seconde Guerre Mondiale

 

Côté hockey, voici mon palmarès : 81 sélections, 3 Jeux Olympiques, 3ème place aux Jeux Méditerranéens de Barcelone. Capitaine une quarantaine de fois. Demi-centre surtout. J'ai aussi reçu la Médaille du Mérite Sportif par Maurice Herzog.

 

 PhRBarcelonePhilippe Reynaud pendant les Jeux Méditérannéens à Barcelone avec l'Equipe de France

 

Comment avez-vous débuté le hockey ?

J’ai commencé à l’école d’Ile de France de Villebon-sur-Yvette (Seine et Oise) en 1930, à l’âge de 8 ans, éduqué et conseillé par M.Fairglaugh. Dans cette école, le hockey était pratiqué tous les jours pendant une heure, surveillé et arbitré.

 

 PhRVillebon
Philippe Reynaud tout à droite, juste à sa gauche Diran Manoukian.

 

Après la fin des études, en général les anciens élèves jouaient au Golfer’s Club, au Racing ou au Stade Français. Personnellement, c’est au Stade que j’ai joué en « réserve », accompagné de mes frères, à 14 ans (1936-1940), voilà pour mes débuts en scolaire et en club.

A cette époque les jeunes jouaient soit en scolaire soit en club. Le championnat était ouvert aux deux.

 

Combien d’années avez-vous joué au hockey ?

J’ai joué et entraîné à peu près de 1928 à 1985, donc durant 57 ans.

 

PhRProfesseurPhilippe Reynaud, entraîneur de hockey à Pontoise en 1955-1956.

 

De 1928 à 1975, à l’Ecole d’Ile de France, Ecole Saint Martin de Pontoise et au Stade jusqu’en 1940 puis au LOU (Lyon Université Club) (1940-1941) avec Tola Vologe, Stade Français (1942-1943) avec Diran Manoukian et les frères Hauet, Saint Ouen l’Aumône (1946-1957), Saint Germain (1957-1958) et Stade Français-Faisanderie (1958-1980).

 

PhRLOUSaint Martin Equipe 1ère saison 1937-1938.
De gauche à droite debout : Ph.Reynaud, X, Bouchy, Carle, du Péage, Michel Imbert
à genoux : Lemaire, Coup, Renard, Simon Reynaud, Dolley

PhRLOUEquipe du LOU, Lyon Université Club, saison 1940-1941
De gauche à droite debout : Arlin Pichot, Beauvilain, S.Reynaud, Ph.Reynaud, Morandi, Sargnon, Pintrant, X
Devant : Cordet, Tola Vologe, Marouzeaux, Cordet, Paillier, GiovoHauet
PhRLOUSaison 1942-1943 au Stade Français
De gauche à droite debout : Lucas, Van Vlamertynghe, Manoukian, Maraug, Ph.Reynaud, Triquet, Andrivet
De gauche à droite en bas : Jean Hauet, Dubessay, Duquesnoy, Blanchet, Claude Hauet

 

Dans l’Equipe de France j’ai joué mon premier international contre l’Angleterre à Folkestone, le 5 avril 1947, j’avais 25 ans. Mon dernier match international se termine par un match nul contre la Pologne (0-0), le 1er juillet 1962 au tournoi de Macerata, j’avais 40 ans passés.

Dans un autre domaine, j’ai dirigé pendant 37 ans le hockey à l’école Saint Martin à Pontoise, jusqu’en 1985 et à la retraite j’ai entraîné le mercredi, les jeunes de Saint Germain pendant quelques années. Et puis de 1963 à 1965, j’ai été entraineur du Bataillon de Jonville.

 

Quelle est la meilleure place que vous ayez atteint en Championnat ?

Il y avait un Championnat de Paris avec 3 divisions, et une coupe de France. J’ai joué une demi-finale contre le Lyon HC et puis, nous avons été champion de Paris avec Saint Ouen l’Aumône en division « honneur » en 1947 et en « excellence » en 1952.

 

Quels résultats avez-vous fait avec l’Equipe de France lors des Jeux Olympiques de 1948, 1952 et 1960 ?

Londres – 1948

31 juillet : France – Danemark 2-2

3 Août : France – Hollande 0-2

5 Août : France – Pakistan 1-3

7 Août : France – Belgique 0-1

Gagnant : Pakistan

 

PhRHelsinkiJeux Olympiques d'Helsinki juillet 1952
Meyer, Bégard, Capelle et Ph. Reynaud

Helsinki – 1952

16 juillet : France – Italie 5-0

18 juillet : France – Pakistan 0-6

21 juillet : France – Suisse 1-2

Gagnant : Pakistan

 PhRPasseHelsinki

 

Rome – 1960

29 Août : France – Italie 2-0

31 Août : France – Allemagne 0-5

3 septembre : France – Kenya 0-0

6 septembre : France – Belgique 1-0

8 septembre : France – Hollande 0-2

Gagnant : Pakistan

 

Le 25 septembre 1960, en match amical après les Jeux, France – Pakistan 1-1 à Lyon

 

Quels sont vos meilleurs souvenirs des Jeux Olympiques ?

A Londres, les Jeux étaient encore influencés par la guerre et incomplets puisque l’Allemagne était exclue, mais c’était la reprise des évènements sportifs. Les grands champions étaient : Ignace Heinrich au décathlon et 110 haies, et Alex Jany à la natation.

A Helsinki, je me souviens de la sportivité des Finlandais et de leur enthousiasme. Le grand champion était Emile Zatopek, vainqueur du 5 000, 10 000 et du marathon, à Londres et à Helsinki.

A Rome, le premier match des Jeux dans le Stade bordé de statues, réservé au hockey, avec comme premier match France Italie. Il fallait gagner à tout prix ! Je me souviens que pendant ces Jeux Olympiques, le stade n’était plein que lorsque les Italiens pouvaient l’emporter.

 

Comment était l’ambiance aux JO ?

A Londres, l’ambiance toujours exceptionnelle malgré l’époque précédente.

A Helsinki, une organisation et une sportivité hors classe finlandaise.

A Rome, la cité antique dans un monde moderne, c’était magnifique.

Dans l’Equipe, l’ambiance a toujours été très cordiale. Le village olympique permettait aux uns et aux autres de se retrouver dans une ambiance décontractée avant les épreuves du lendemain.

 

 ScreenHunter 79France - Hollande (1-1) à La Croix de Berny à Paris, le 19 avril 1947.
Philippe Reynaud au centre de l'image

 

Et le hockey féminin à cette époque ?

J’avoue ne pas connaitre réellement ce problème. Tout ce que je sais c’est qu’à Paris il existait, une Equipe Féminine au Stade Français, au Racing et à Saint Germain. Elles étaient développées grâce à la famille Goy et la présence de Françoise Goy, épouse de Diran Manoukian, décédée peu après son mariage, ce qui avait peiné beaucoup de monde. En province, je ne peux que vous donner mon cas personnel puisque j’ai épousé Annick Gros de Cholet. C’est elle qui avait créé le « Jeune France » de Cholet pendant la guerre.

Peu d’équipe en tout cas, juste à Bordeaux, le VGAL, et à Angers le SCO.

Depuis quelques années les progrès des licences féminines semblent être un des évènements positifs du hockey, tant mieux !

 

Quels sont les principales différences entre les années 1950 et aujourd’hui ?

Dans la comparaison entre Londres et Helsinki, il est évident que Helsinki avait renoué plus facilement avec la tradition sportive.

Sinon, les émissions de Télé ont bouleversé les conditions de propagande pour les Jeux de Rome, et c’est de mieux en mieux filmé ou commenté. La télévision permet au foot de devenir le sport le plus spectaculaire et le plus répandu dans le monde.

En hockey, la qualité des terrains synthétiques a permi au jeu d’être plus rapide et plus spectaculaire.

Le sport féminin a beaucoup progressé.

 

Quelles autres compétitions ont marqué votre esprit ?

D’une manière générale, le foot n’écrasait pas les autres sports. Le sport était pratiqué par une minorité. Mais les grandes compétitions étaient : Le Tour de France avec Antonin Magne et Charles Pelissier, le Tennis, avec « les Quatres Mousquetaires », Jean Borotra, Henri Cochet, René Lacoste et Jacques Brugnon, vainqueur 6 fois de la Coupe Davis. Le cyclisme sur piste avec Lucien Michard. L’athlétisme avec Julien Ladoumègue au 1500 m, Jesse Owens au 100 m, 200m et Longueur. La natation avec Jean Taris. Le rugby, la boxe ou encore la lutte.

 

Côté cour :

-         Gazon ou salle ? Gazon (synthétique)

-         Plutôt côte du Rhône ou Bordeaux (vin) ? Rhône (Condrieu blanc), « château Grillet », Côte-Rôtie rouge ou Cornas.

-         Télé couleur ou noir et blanc ? Noir et blanc pour les films d’avant-guerre (Arletty, Gabin, Chaplin, Jouvet...). En couleur pour ceux d’après-guerre. Mettre en couleur la période 1933-1945, c’est faire disparaitre le côté angoissant de cette époque pour le faire ressembler aux défilés mascarades de la Corée du Nord.

-         Poste hockey préféré ? Demi centre

 

Que pensez-vous de la candidature de Paris pour l’organisation des Jeux Olympiques en 2024 ?

Je n’y vois pour ma part que des avantages. Tout semble avoir été prévu dans l’organisation de ces Jeux. La France en hockey devra se surpasser.

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Stade départemental Yves-du-Manoir,

12 rue François Faber, 92700, Colombes
Mail : ffh@ffhockey.org
Transports : Le Stade (Transilien J)

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